jeudi 26 mai 2011

Al ven del mon

Un premier commentaire sur « Rêverie au travail »

Gilles Rouffineau,  n’a pas écrit sur le blog de Jean-Pascal Dubost.  mais si  par curiosité  vous allez du côté de la page 147 (à vérifier la page), de sa thèse accessible bien sûr sur Internet  mais que je ne retrouve plus référence égarée en fichier temporaire introuvable  vous y lisez l’aspiration  (sans « e »),  balayant l’ « inspiration »…    
ecoévidence ::
«la rêverie en marche, écoute le territoire par les pieds » 
La sérendipité  ? La sérendipité ...
dit Ménard, «  c’est avant tout la posture : posture d’attente, posture du guetteur. On cherche, on ne sait pas quoi. » 



La sérendipité c’est trouver ce qu’on ne savait pas chercher : ce lieu social où se croisent nos trajets, dont la librairie est un des carrefours.


et
« Faire émerger une nouvelle logique par la juxtaposition de matériaux composites. Fragments de textes piochés un peu partout.  Procéder par prélèvements, détournements, abstractions successives, c’est se donner une chance d’échapper à la falsification générale. » ?



Mon travail, c’est du temps.  On dirait ces petits cailloux qui disent le chemin parcouru.
Il y a cependant, dans la contrainte d’une écriture au quotidien, un défi. Faire que ces textes soient des franchissements qui m’emportent où je n’ai pas prévu, là où on ne va pas avec sa raison ni même l’intuition.


  Photo Fatima Mana

"Il faut rendre sous forme de mouvement ce qu’on a emprunté, et c’est ainsi qu’on devient peut-être libre."



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire